Ch'te souligne seulementqu'Martin l'a surpris au d! Tu m'as l'air surpris, toi !. Tiens, quand tu causesv! Alors ! PAUL MERCEY : Ben, j'ai tout d'm! T'y connais qu'dalle, tu confonds tout!. Primo, monsieur, la Cypale, c'est pas l'Isoar ! Secundo, voir passer une course,c'est p't- . Bon, c't un bon coureur, d'accord, bon,ben.. Tout ce qu'il faut savoir pour se faire plaisir : sens de l'eau, gestuelle, tactiques, astuces et choix des mouches. Jean-Marc CHIGNARD, p
Consultez le programme TV du jour pour toutes les chaSi tu veux parler d'la route, alors ch'peux t'prendrel. Et pis ch'peux t'direqu'y'en a eu d'autres, des coursiers, avant M'sieur Charly Gaul ! T'as jamais entendu parler d'Monsieur Christophe,le Vieux Gaulois ! Et je n'parle pas d'Henri !. PAUL MERCEY : Henri qui ? JEAN GABIN : Oooh.. On retournait sa roue pour le grimper, votre Isoar !. Seulement . J'voudrais bien l'voir dans l'Isoar, moi, tiens ! JEAN GABIN : Oh, quel con, c'mec- l! Prends- le un peu, tiens, y m'essouffle! Aaah !. PAUL FRANKEUR : . On causerait politique, que tu t'paumesdans les . Mais le sport, c'est un truc propre!. C'est pourquoi quand tu compares les sprinters et les grimpeurs, les pistardset les routiers, ben, tu m! C'est comme si t'additionnais les oiseaux avec les l. D'accord ? PAUL FRANKEUR : C'qu'on t'a dit, c'est pour toi !. Tiens,donne- moi l'tien !. T'es aux balustrades, dans l'dernier virage.. Hein ?. Sous les bradillons,sans avoir l'air de rien.. Alors,l'autre marlou, derri. Ou bien y restedans ta roue, ou bien y plonge !. Parce que s'il attend la sortie du virage, c'esttoi qu'y d. Encore un p'tit peu.. Tu peux lui serrer la main, au P! Trois ! CLAUDE BRASSEUR : Sans blague ! ALFRED ADAM : Officiel !. T'ouvres le bal dans quinze jours, . Des fois qu't'en ai besoin,ch'peux t'envoyer chez lui.. Toi, tu vaux trois strapontins, R. Oh, puis, tu sais, si mes propositionst'plaisent pas, t'es toujours libre de les refuser !. L'amateurisme, pffft !. C'est beau, c'est pur.. Tous les dimanches.. Des timbales et des porte- clefs.. Seulement pour Bordeaux,faut s'd. C'est oui ou merde ! Sur leur chantier. JEAN GABIN : Ben, et ton casque ? PAUL FRANKEUR : Qu'est- ce qu'il a mon casque ? JEAN GABIN : Il est pas fait pour . Tusais c'que tu m'rappelles ?. On avait un juteux aussi emmerdant qu'toi ! JEAN GABIN : Ouais, mais ! C'qui prouve qu'on peut tr. Dans la vinasse.. PAUL FRANKEUR : Tu dis . Tiens, dis donc, en parlant d'ton filleul, t'saisqu'y va passer professionnel. PAUL FRANKEUR : Ben, il a raison ! JEAN GABIN : Et pis Odette, dans la photo.. Ch'te cache pas qu'ch'uis pas f. Surtoutqu'y'a pas un soir qu'y'a pas un client qu'essaie d'l'embarquer pour aller d. Pasun Prince du Sang.. JEAN GABIN : Non, mais c'est compl. Les deux autres,tu les as retir. Les miens, c'est moi qui les ai faits.. Ch'ais c'qu'ysentent et ch'ais c'qu'y pensent.. Mais l'Fernand, son p. Va donc savoir c'qu'il a dans l'cr. Et pis pour pas qu'y soit dit qu'j'avais pas fait c'que j'devais faire ! PAUL FRANKEUR : C'est bien toi, . Tu devrais faire graver des cartesde visite ! C'est une branche qu'est pas tellement encombr. Maisqu't'ais voulu lui piquer mille balles, ! Et autre choseque j'aime pas !. C'est toi qui les dois . J'aime mieux t'dire que pour un truc pareil, avec mon p. Mais y'a un truc qui s'fait encore !. C'est l'coup de pied au cul !. Alors, c't'explication ! Un antisocial, que t'es!. Tu trouve pas qu't'envoies un peu loin l'bouchon?. Ch'ais pas c'qu'il a fait, mais.. JEAN GABIN : T'es- t- y parent d'. Ben, dis donc, t'as une dr. La lettredu dirlo est arriv. Faudra bien qu'j'ui dise.. Tu parles d'une musique!. Et si tu y disais, toi.. Ben, t'es plus ficelle que moi pour . Faut pas s'affoler, faut r. Regarde pas, hein ! ROGER DUMAS : Tu crois qu'j'ai la t. Qu'est- ce quec'est, ton avis ? MARIE- JOSE NAT : Ben, attendre et prier l'Bon Dieu qu'Loulou gagne cet apr. Pis s'y m'refait l'coup d'Bordeaux, ch'uis marron, moi !.(Entrouvrant la porte..) ! Parle- moi d'la jeunesse actuelle ! Traite- moi d'enfant d! De fille indigne ! JEAN GABIN : Oh, non.. D'putain. MARIE- JOSE NAT : Ch'te d. D'appeler les choses par leur nom, quoi! J'ai une fille qu'est une putain ! MARIE- JOSE NAT : Parfait. Puisque tu veux tout savoir, le monsieur qui est en basest mon amant ! On a simplement oubli! Excuse- nous, mais permets- moi d'te rappeler qu'ch'uis majeure ! JEAN GABIN : Oooh, j'le sais ! Mais lui aussi, il l'est ! Et depuis longtemps !. As- tu pris seulement la peine de l'regarder, hein ?. Sauf le ventre,c'est pareil ! Seulement moi, ch'uis ton p! J'aime sa distinction ! JEAN GABIN : Oui, t'aimes surtout sa voiture et son carnet d'ch! Ladistinction, c'est en plus !. Si tu t'es mis dans la t! Ch'cherche simplement ! Car tu ne l'as pas compris, c'est . Surtout ne m'prends pas pour un. P. Mais quelqu'un d'ton . Tu vas faire tes valises et tu vas rentrer! MARIE- JOSE NAT : Non ! JEAN GABIN : Quoi ? MARIE- JOSE NAT : Non ! Tu rentres, moi, je reste ! La Rue des Prairies, c'est termin! Parce que figure- toi qu'j'en ai marre de faire la boniche ! JEAN GABIN : La boniche de qui ? MARIE- JOSE NAT : La tienne !. Seulement toi et le progr. Et puis ta morale, j'enai rien . Maintenant, ch'uis en premi! Et j'y reste !(Mornifle..)JEAN GABIN : . Je crains, malheureusement, de n'pas avoir de disques d'accord. Elle vous a certainement dit que j'. J'aurais finalement gain de cause !. Alors pourquoi luilaisser croire ? Odette est une enfant, elle pourrait . Alors, comme beaucoup d'gosses de son . Vive Monsieur l'Maire et laf. Et pis pour tout vous dire, ben, j'aime encore mieuxqu'vous soyez l'amant d'ma gamine plut. Vous la quitterez un jour.. Qu'est- ce quevous croyez ?. Pour bourrer l'mou au P. Maintenant vouspouvez remettre votre messe.. Retour du paternel en canfouine. CLAUDE BRASSEUR : ! Pour moi, la musique s'arr. J'veuxqu'les martiens voyent . Pis, situ l'sais pas encore, ! Sans blague ? CLAUDE BRASSEUR : Ben, un peu, oui !. Car il en parle,figure- toi ! JEAN GABIN : Oui, il en parle ! Je sais ! CLAUDE BRASSEUR : Ben, alors ! Un destypes les plus riches de Paris ?!. Les journaux, les papiers ! T'es pas tout seul !. Enfin, quoi.. La frangine Avenue Henri- Martin, les bagnoles, les vacances dans l'Midi.. Sans compterqu'on pourrait y aller aussi, nous, dans l'Midi ! JEAN GABIN : Ben, tiens ! Qu'est- ce que tu reproches ? C'estpas la bonne combine ? JEAN GABIN : Ben, tu penses !. Pis les bonnes combines, toi, . Remarque que c'est gentil, ton projet, c'est familial.. On la met au lit, pis nous,on fait d'la chaise longue !. Bonne combine, comme tu dis ! Pis en plus, tu m'prends pour un cave !. Ta course de Bordeaux, tu crois qu'j'avais pas compris, hein ?. Dis !. CLAUDE BRASSEUR : Ben, si tu l'as lu, pourquoi qu'tu m'en as pas parl. Ch't'avais rien demand. J'en voulais pas, d'ton pognon.. Alors, qu'est- ce que t'avais besoin d'jouerles grands donateurs quand tu venais d'. Hein ! CLAUDE BRASSEUR : Bon, bon, en admettant.. Parce que toute la presse avait donn! Ben, puisque tu l'prends comme ! Moi,j'vais les porter ailleurs, mes cachets ! T'aurais pas des fois la pr! Parce que moi, j'ai pass! J'm'appelle pas Fernand ! J'restais ici uniquement parce que ch'uisbon mec ! Ben, ch'te laisse dans ton deux- pi. Parce que ch'uis p't- . Et pour les coups- fourr. Que ch'passais mes soir. Quand y m'arrivait d'penser aux guinches, c'. C'est les vrais gambilleurs,qui ont disparu !. Dans le salon. JEAN GABIN : Oh.. Les gros bras d'abord, forc. Tu sais, maintenant, avec le tourisme.. JEAN GABIN : Ouiii. On fait son persil en trois mois, pis l'reste du temps, c'estles vacances.. Tu peux pas savoir lenombre de pommes qui s'est fait repass. Alors, j'vais t'dire quelque chose.. Aussi, oh, pendant qu'tu y es, ch'pourrais m'mettre aussi aux fourneaux.. Lep'tit bagne en toque blanche ! VIVIANE ROMANCE : Ho.. Le bagne dans l'Midi.. Parce que tu crois tout d'm. Pendant qu'tu pensais . Parce que moi,l'avenir.. Ch'uis tricardde perlot.. Et c'est pareil pour l'ap. J'ai dix de tension, un million d'globules rouges quis'sont fait la malle.. L'professeur l'a recommand. Fautplus qu'y cause, Mario !. Seulement, moi, ch'peux pas m'permettrede replonger.. Si je retourne au ballon, c'est la condamnation. Tu les as vus, les cimeti. Celui d'Fontevrault ?. Parce que laisser tra. J'ai p'us les jambes, moi !. Dans le gourbi du voyou. ALAIN DELON : Ben, on cause.. Hier, c'tait l'tabac.. Tu finiras comme ton cousin. Alphonse ! Cousin Alphonse qu'est mort flingu. Hein ! GERMAINE MONTERO : N'emp. Et tu l'aurasaussi ! ALAIN DELON : Tu m'as r! Alors, faudrait savoir c'que tu veux !. Le microbe ou l'couperet ?!. GERMAINE MONTERO : Dis donc, Francis ! Ch'uis venue pourte parler s. Ta pension ? ALAIN DELON : Ah, ben, c'est vrai, . Pas toi ? ALAIN DELON : Ah, ben, c'est ! Comment voulez- vous qu'j'vous paye ?. En nature ou en affection ?. GERMAINE MONTERO : C'qui nous ferait plaisir, ce serait qu'tu travailles ! On m'propose un boulot !. Dans une station- service.. Place P. Le pompiste est un pote.. GERMAINE MONTERO : C'est pas l'premier qu'tu rencontres ! ALAIN DELON : Pourrais pas . On va m'emmerderavec . Justementpour qu'on n'en cause plus ! GERMAINE MONTERO : Un jour, c'est nous qu'tu tueras ! Dechagrin ! ALAIN DELON : Ben, comme . Ah, elle devient infernale.. Ah, ben, tu connais pas la derni? Celle qu'elle a encore invent. Que je garde ton mouflet pendant qu't'iras . Joli, non ! MAURICE BIRAUD : Aaah, j'dis pas non.. Ah, une nurse, c'est une nurse !. Moi, tu vois, j'vais t'dire, questionspectacle.. Mayol, euh.. Les Folies.. C'est pour te dire que.. Quatre?. MAURICE BIRAUD : Deux, hein ! Mais pas un d'plus !. Ah, tu peux pas savoir, monvieux.. Tiens, mon tiersprovisionnel, les taxes, la patente.. Ch'pense pouvoir te rendre le total assezvite.. J'ai l'intention d'chercher du boulot.. MAURICE BIRAUD : De chercher ou d'trouver ?. ALAIN DELON : Ah, non, sans char.. Euh, le boulot, c'est un truc qu'y vautmieux commencer jeune.. Euh, tu prends l'pli.. Un an d'celluleavec un mec, c'est pas forc. Tu peuxt'gourer sur moi.. Un tocard aurait dit . Mais pendant qu'vous y . Alors, comme j'ai l'respect d'la famille, j'te demande pas d'balancer ton beauf',tu m'parles de Monsieur Charles et j'oublie l'reste.. Qu'est- ce que t'en dis ?. MAURICE BIRAUD : . Vous, c'est la famille, moi, c'estl'Code !. Alors, chacun sa religion !. Mais personne n'a jamais .
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December 2016
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